développer sa créativité avec le patchwork

La technique IMPARABLE de Victoria Findlay Wolfe pour faire du patchwork (même quand on n’a pas le temps )

Connais-tu la technique imparable de Victoria Findlay Wolfe pour faire du patchwork, même si tu n’as pas le temps ? C’est une technique extrêmement simple et créative, et pourtant très peu utilisée. 

Nous sommes toutes pareilles. Nous sommes prises dans le tourbillon de la vie. A peine démarré le lundi, qu’on se retrouve le dimanche suivant, sans avoir eu le temps de dire OUF ! 

Et le patchwork dans tout ça?  Un mirage, plus ou moins lointain, de longs moments sur Facebook ou Instagram à regarder les ouvrages des autres, des compilations de modèles dans des tableaux sur Pinterest…mais très peu de temps pour passer à l’action…

Viennent alors la frustration, le découragement, avant même d’avoir commencé.

Bien sûr ici pas de recette miracle ! Mais de petites actions à mettre en œuvre tous les jours, et tu verras la différence ! 

Suis-moi !

faire du patchwork, même quand on n'a pas le temps : la technique de Victoria Findlay Wolfe

Le plus dur dans les activités créatives, ce n’est pas de créer. Ça, c’est le plus facile et le plus agréable. Pourquoi ? Parce qu’une fois qu’on est lancé, on fait quelque chose qu’on aime, on apprend une technique, on passe un bon moment avec d’autres personnes comme nous.

 

Non, le plus dur, c’est tout le reste autour. 

 

Penser aux courses, préparer les repas, la maison, le ménage, le repassage, les enfants, l’école, les activités extra-scolaires, les activités et autres rendez-vous à l’extérieur, les imprévus…

 

Et puis, il nous reste un peu de temps libre, là. Juste un petit créneau, ni trop grand, ni trop petit. Chouette, je vais faire du patchwork. 

 

Oui, mais, par quoi je commence ? 

 

Je ne sais pas quoi faire. Je n’ose pas combiner mes tissus de manière créative, j’aurais dû acheter cet accessoire pour faire du biais, je vais commencer par regarder ce tutoriel sur YouTube…

 

Je ne vais pas avoir assez de temps pour choisir mes tissus pour ce modèle de ma dernière revue. 

 

Si je sors ma machine à coudre, il faut que je me garde du temps pour tout ranger avant de terminer. Pff, est-ce-que ça vaut vraiment le coup ? “Maman (Mamie), je m’ennuie, on fait quoi ?” 

 

Affaire classée…

 

Si tu ne prends pas les choses en main, tu vas t’éloigner un peu plus chaque jour de ton loisir préféré. Tu seras complètement sur les dents, frustrée de ne rien faire de constructif, ni de créatif…

 

Créer, quand on aime cela, c’est important. Comme le disait Albert Camus : “Créer, c’est vivre deux fois”. Pour ne pas l’oublier, je l’ai fait graver sur mes lunettes ! Addict à la créativité jusqu’au bout des doigts ! Enfin, le bout du nez !

trouver l'inspiration pour faire du patchwork

Il n’y a que toi pour passer à l'action

Personne ne le fera à ta place. Tu pourras t’inspirer tant que tu veux, rejoindre les groupes, et rêver aux beaux patchworks que tu voudrais faire, si tu ne te mets pas en action, personne ne le fera pour toi. 

 

Bien sûr, trouver un cercle d’entraide et de motivation, c’est bien. Mais il est important de mettre en place un minimum d’actions et de prendre conscience de certains éléments. 

trouver du temps pour faire du patch

10 minutes de patchwork par jour, c’est possible !

 

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Juste jouer avec ses tissus de patchwork

Patchwork, main ou machine, pour jouer avec les couleurs et les tissus

Le principe de base que Victoria Findlay Wolfe propose dans son livre “15 minutes of play”, comme l’indique le titre, c’est de jouer. 

 

Jouer ? Mais cela ne va pas avancer comme ça, c’est sûr !

 

Eh bien détrompe toi. Jouer au patchwork va te permettre de passer à l’action beaucoup plus facilement. 

 

Lorsqu’on joue, on ne se pose pas de contrainte. On a le cœur léger, et on est prêt à se laisser surprendre par de nouvelles opportunités. On est capable de surmonter ses peurs, et de dépasser ses blocages. Au patchwork, c’est tout à fait possible. 

 

Pour cela, Victoria propose de te lancer pendant 15 minutes, sans réfléchir, et sans se poser d’autre objectif que d’assembler un certain nombre de pièces de tissus les unes avec les autres. 

C’est une méthode simple des petits pas, sans aucun enjeu de productivité, ni de design. Cela a l’avantage de te mettre en mouvement et d’amorcer des automatismes de création et de créativité. 

 

Comment jouer avec les tissus au patchwork ? Victoria reproduit un processus observé avec sa grand-mère. Celle-ci avait de graves problèmes d’arthrose qui la limitait dans ses mouvements. Sa famille lui tenait à sa disposition des sacs entiers de chutes de tissus, et c’est comme cela qu’elle travaillait, en réalisant des crazy.

 

Comme on cherche une place pour chaque pièce d’un puzzle, Victoria choisit une pièce de tissu, et l’agence avec les précédentes, sans trop réfléchir, selon les couleurs, les matières, les formes. 

 

Son seul leitmotiv à ce moment du processus : “Grab – Place – Sew” (prends un morceau de tissu – place le- couds-le). Ce processus doit se faire assez rapidement, pour ne pas être distraite par toutes sortes de questions.

Organiser un coin atelier de patchwork

Je rajouterai que pour se lancer comme le propose Victoria Findlay Wolfe, cela suppose un minimum d’organisation. Et par là, j’entends essentiellement, une organisation matérielle des choses. 

 

Pour être opérationnelle et se mettre rapidement en mouvement, je pense qu’il est indispensable d’avoir un espace de travail, même restreint, toujours à disposition. 

 

Cela suppose donc d’avoir au minimum la machine à coudre, une station de repassage, et un espace plan de travail pour les coupes au cutter rotatif. 

 

Oui, mais, tu vas me dire que tu n’as pas la place pour avoir un petit atelier de création disponible 100% du temps dans ton intérieur. Je connais cela. A la maison, lorsque j’ai commencé, mon espace était installé au bout de la table de cuisine-salle à manger. Une chance pour moi, la table mesure 3 mètres !!!

 

Tout le monde n’a pas la chance d’avoir une si grande table à disposition ! Comment faire alors ? 

 

J’ai découvert cette astuce à la lecture d’un livre (en anglais) sur les hauts-potentiels. Ce livre décrit les différents types de hauts-potentiels, qui n’ont pas tous la même conception de l’espace, du temps…Cet auteur propose alors pour certains créatifs, de se créer une petite station de création, modulable. 

 

En recherchant un petit meuble modulable, avec un plan de travail, des petits paniers sous le plan de travail, des plans rabattables,….on peut se créer une station qui nous correspond à 100% et que l’on peut changer de place !

 

J’ai trouvé cette idée très astucieuse ! Pour trouver ce genre de petits meubles, pense aux grandes chaînes de déco, du type de la scandinave, tu sais, IK…A, ou dans les magasins de bricolage classiques, au rayon salle de bain, ou cuisine. Je suis sûre que tu peux trouver quelque chose qui te conviendra. 

Comment faire 15 minutes de patchwork par jour, comme Victoria Findlay Wolfe

Voici ton petit plan d’action pour pouvoir faire 15 minutes de patchwork par jour, selon la méthode de Victoria Findlay Wolfe. On y va étapes par étapes.

le minuteur, l’arme fatale

La première étape, après avoir dégagé un petit coin de pièce ou acheté un petit meuble modulable, c’est le minuteur. C’est ton arme fatale. 

 

Pourquoi est-ce si important de mettre en route ton minuteur avant de démarrer la séance ? C’est comme le début d’un petit rituel. En armant ton minuteur, tu te dédies officiellement les 15 prochaines minutes, rien que pour toi ! 

 

Et si tu fais plus ? Tant mieux ! Mais c’est sûr, pas moins de 15 minutes. C’est juste assez pour réaliser un assemblage plus ou moins conséquent. Et en même temps, 15 minutes, cela passe trèèès vite. Il se crée donc en toi un petit sentiment d’urgence, qui va t’obliger à te concentrer sur l’action que tu es en train de faire, là, maintenant. 

 

Et le monde autour ? Les “Maman, je ne trouve pas ma casquette”, “Je comprends pas mon exercice de maths, j’y arriverai jamais”, ou “Qu’est-ce-qu’on mange ce soir ?” peuvent patienter largement 15 minutes sans nous, n’est-ce-pas ? 

Le minuteur pour se lancer dans un quart d'heure de patchwork

les chutes de tissus, économique et créatif

Pour te lancer dans un exercice de patchwork, et laisser ta créativité prendre le dessus, choisis des tissus qui n’ont pas d’enjeux émotionnels pour toi. 

 

Qu’est-ce que cela signifie ? 

 

Lorsqu’on travaille un modèle avec nos beaux tissus de coton, on va avoir tendance à vouloir faire les choses parfaitement. Ces tissus sont précieux à nos yeux. On les a choisis parce que les couleurs et les motifs nous font vibrer, on ne veut pas les gâcher. 

 

En utilisant ces tissus pour lancer notre créativité, on va bloquer le processus. Nos peurs de mal faire vont prendre le dessus. Nous allons avoir tendance à moins oser, moins expérimenter. Et donc moins s’amuser.

 

Comment faire alors ? 

 

Tu le sais, au patchwork on ne jette rien. Surtout pas les chutes de tissus. 

 

Les quilteuses collectent les chutes de leurs projets passés, pour les réutiliser dans les projets suivants. 

 

Rassemble boîtes, sacs divers et contenants de toutes sortes pour collecter toi aussi les bouts de tissus que tu as utilisés dans tes ouvrages précédents. Tu peux même utiliser des habits que tu ne portes plus : chemises, robes, jeans,…tout est bon !!!

 

Le risque, c’est que ton coin d’atelier ressemble à une recyclerie ! Parfois, on se demande pourquoi on garde tout cela !

 

Mais le projet qui nous occupe aujourd’hui est idéal ! C’est économique, on a plaisir à sélectionner ces tissus qui ont tous une histoire. Cette robe que ta fille ou petite fille a portée ramène à un souvenir dans le jardin, la chemise de ton fils lorsqu’il avait 13 ans… 

 

Dans tous les cas, on osera plus facilement découper dans des tissus qui ont déjà eu une vie, plutôt que dans de beaux cotons, aux motifs magnifiques, qu’on ne veut pas gâcher pour un exercice dont on ne connaît pas l’issue !

made fabric, attention addiction !

Victoria Findlay Wolfe appelle cette technique le “Made Fabric”, qu’on peut traduire par “Tissu confectionné”. Le principe est simple, mais pas si évident au départ.

 

Il s’agit de sélectionner au fur et à mesure des chutes de tissu de ta collection, et d’assembler, sans se poser trop de questions, pour obtenir, au bout d’un quart d’heure, une pièce “crazy”, un assemblage aléatoire de tissus.

 

Je trouve que ce n’est pas si évident au démarrage du processus, car on n’ose pas. On se pose un tas de questions, on se fait un tas de remarques. “Ces formes de tissus ne sont pas spécialement belles”, “Cette couleur ne va pas avec la pièce précédente”, “Mon assemblage ne ressemble à rien” “C’est du grand n’importe quoi”…

 

Tout y passe !

 

C’est pour cette raison que le minuteur a toute son importance. Se bloquer 15 minutes va nous obliger à dépasser ces blocages, toutes ces phrases de départ qui nous incitent à arrêter et exercice “inutile”. 

 

Si on veut avoir produit un minimum quelque chose à la fin, on va devoir se faire un peu violence, et continuer malgré ces phrases-censure. On va devoir s’autoriser à créer, même si au début du processus, on n’adhère pas à ce que l’on fait. Parce que c’est à l’opposé de réaliser un bloc piécé, tout propre coupé au carré !

 

L’important ici est de se faire confiance malgré tout. Et je trouve cela extrêmement intéressant et enrichissant. Arrêter de “sur-penser” nos réalisations a au final quelque chose de libérateur par rapport à la création patchwork habituelle. 

 

Car cette étape déroutante de “création en mode sortie de route” va nous permettre d’expérimenter, de tester une nouvelle association de couleur, de faire ressortir un motif, auquel on n’aurait même pas pensé.

 

Dans tous les cas, Victoria Findlay Wolfe nous rappelle qu’il n’y a jamais de mauvais choix. Dans les couleurs par exemple. Son expérience lui a prouvé que toutes les couleurs vont ensemble quoi qu’on en dise. Il faut vraiment se faire confiance, car on a déjà toutes les bonnes décisions en nous. 

 

Et si tu penses avoir fait une erreur. Ne sois pas dure avec toi. Au contraire, l’erreur fait partie intégrante du processus de création. Elle te guide vers des chemins de créativité, auxquels tu n’aurais même pas songé !

en route vers la créativité sans limites !

Maintenant que tu as une pile de “made fabric”, ces assemblages de chutes de tissus en “mode crazy”, que vas-tu pouvoir faire de cela ? Victoria Findlay Wolfe propose dans son livre “15 minutes of play”, de les utiliser de façon très créative dans la création de blocs de patchwork traditionnel, comme les bandes, les moulins à vent, le carré dans le carré, le vol d’oies. 

 

Pour le coup, on n’abandonne pas le patchwork “classique” avec les multitudes de blocs et les techniques de base. Au contraire, les Made Fabric sont un tremplin pour donner un nouveau souffle à tes ouvrages !!!

 

Intégrer ces “Made Fabric” à tes créations leur donne une dynamique à laquelle on n’aurait pas pu avoir accès avec des assemblages de tissus plus traditionnels. Et cela crée un sentiment vraiment particulier. Un mélange de “C’est étrange, j’ai une lecture différente de mon bloc”, et “Je suis fière, c’est original, ça change de l’habitude” !

 

A tester sans modération !!

 

Il faut savoir que Victoria Findlay Wolfe a également utilisé des blocs orphelins, des tests de blocs traditionnels, réalisés lors de sessions de travail classiques, puis laissés dans un coin. Plusieurs mois, plusieurs années après, elle a ressorti ces blocs inutilisés, puis elle les a découpés, pour les intégrer dans ces “made fabric”. Et ce qui en est né est juste magique lorsque l’on voit ces quilts anneaux de mariage déstructurés !!!

Libère ta source de créativité !

Parfois on se retrouve découragée, bloquée par la somme de travail à réaliser pour réaliser un quilt ! Et dans la vie de tous les jours, pas facile de faire de la place pour un moment simple de plaisir créatif !

On pourrait avoir tendance à culpabiliser de prendre du bon temps pour ces activités, alors qu’il y a tellement de choses importantes et sérieuses à faire au quotidien.

Avec la technique de Victoria Findlay Wolfe, “on mange l’éléphant en petites tranches”, on y va étapes par étapes ET on ajoute du JEU, de l’amusement, là où les choses nous semblent “lourdes”. 

Et le plus naturellement du monde, les pièces se créent, ajoutent de la couleur et de la magie dans nos processus créatifs. Ce que propose Victoria n’a rien de révolutionnaire, et pourtant, cela change tout quand on s’y essaie !!

double wedding ring quilt de Victoria Findlay Wolfe
Image Victoria Findlay Wolfe

Boris Cyrulnik l’a bien résumé lorsqu’il nous dit : 

Il faut avoir une part de délire, c’est la poésie, c’est l’incertitude, c’est l’hésitation, c’est le trouble, et c’est la source de la créativité.
Boris Cyrulnik

Et toi, es-tu prête à libérer la source de ta créativité ? Dis-moi tout en commentaire !

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8 commentaires

  • FONTEAU

    Cet article regroupe bien toutes les réflexions décourageantes qu’on peut se faire , pour ne pas prendre un temps pour soi, même si comme moi , on est à la retraite. Alors on se dit , demain ça ira mieux.
    Mon soucis c’est de créer quelque chose qui serve, qui se matérialise par un article qui serve, ou que l’on aurait réalisé à partir de nos chuttes . En ce sens je puise à l’infinie des tutos de youtube et je me noie dans des projets.
    Merci pour vos partages, ils me sont très précieux. surtout quand vous partagez vos découvertes de lecture.
    J’attends la prochaine news letters . A bientôt

    • Nadège Fily

      Merci Jacqueline. Je vous rassure, j’ai des projets pas finis plein les placards, et le plus difficile ensuite, c’est de les terminer tous ! Un jour j’organiserai un challenge pour finir les ouvrages en cours. A plusieurs, c’est plus facile de se motiver !

  • Carmen

    Bonjour Nadège, merci beaucoup pour cet article, je l’ai beaucoup apprécié, je m’y suis retrouvé complètement.
    En tant que quilteuse pas très expérimentée, je suis toujours des modèles précis, tout en y mettant un peu de ma propre imagination, et bien sûr je ne jette rien, au cas où…….Puis je me dis : je ne sais pas faire de l’improv, je n’aime pas ça, qu’est-ce que j’en fais, etc etc.
    Mais l’idée des 15 minutes, je veux l’adopter, même si je me considère comme très privilégiée en matière de temps. Retraitée et avec un joli coin de travail pour moi toute seul.
    Dans quelques jours, je vais au Carrefour Européen, un rendez-vous annuel que j’aime beaucoup, qui sait si nous nous y rencontrerons ?
    Je vous souhaite beaucoup de bien, et j’attends avec impatience vos prochains article

    Salutations du Tessin

    • Nadège Fily

      Merci Carmen ! C’est un principe tellement simple, mais parfois, il reste difficile à appliquer ! Je me mets même une alarme sur mon téléphone, comme ça tout le monde l’entends à la maison ! Pas d’excuse !

  • marijo.m

    Bonjour Nadège,
    Merci pour cet article. Cela fait longtemps que j’ai envie d’essayer les blocs crazy en regardant toutes ces chutes qui s’amoncellent dans mon tiroir. J’ai commencé le patchwork assez tard et ces trois dernières années je n’ai pas été très productive pour des raisons de santé (grande fatigue). Cette année, j’espère pouvoir mieux m’organiser et adopter les conseils de cette créatrice, 15 mn par jour, cela doit pouvoir se faire.
    A bitntôt pour de nouveaux articles. Amicalement.

    • Nadège Fily

      L’essentiel, c’est de démarrer et de garder le plaisir. Et le jeu du crazy s’y prête bien. Au début, on tatonne, on n’ose pas, et puis une fois dans le processus, on n’arrive plus à s’arrêter !

  • Fabienne

    Bonjour Nadège
    Je te découvre par le hasard du net en faisant une recherche sur le glazig
    Tu es géniale !
    Bravo pour ton travail et tes échanges
    Je pratique le patchwork depuis 30 ans
    Et j adore ta vision de cet Art
    J adore ton article et vidéo sur les 15 mn à prévoir dans notre journée
    C est exactement ce dont j avais besoin en ce moment
    J avais délaissé par manque de temps mon activité créative et crois moi c est une souffrance
    Donc culpabilité découragement etc …
    Et surtout l impression de ne jamais rien finir
    Merci pour ces précieux conseils
    Que je vais essayer de suivre
    Au plaisir de te suivre désormais
    Fabienne

    • Nadège Fily

      Bonjour Fabienne,
      Merci beaucoup pour ton enthousiasme ! Ça me fait chaud au coeur ! Je suis ravie que tout cela te plaise ! J’espère que tu réussiras à mettre mes petits conseils en oeuvre. Au plaisir ! Nadège

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